PROJETS

 

MADERA

Stéphane Galeski & Hector Javier Ayala, guitares.

MADERA (Latin Jazz, Groove) est le fruit de la rencontre entre Stéphane Galeski (France) et  Hector Javier Ayala (Mexique).  Deux guitaristes passionnés de Jazz, de musiques méditerranéennes et de rythmes latinos.

HJ Ayala, solo

Musique de recherche & improvisation.

Rares sont les musiciens qui parviennent à une telle maîtrise musicale, et qui savent s’échapper de la virtuosité pure pour explorer, dans une totale liberté, les possibilités infinies offertes par leur instrument. 

On pense forcément à Coltrane. A cette énergie-là. Noire, intense, quasi vaudou parfois. On peut aussi le percevoir de manière plus intuitive, en acceptant de perdre ses repères traditionnels, son horizon bien défini. 

Le jeu unique d’Hector Javier Ayala est enraciné dans des formes traditionnelles et acoustiques. De formation classique, son parcours s’est diversifié entre le jazz, le folklore latino-américain et l’improvisation libre. Au fil de la guitare, il tire aussi ses sources du blues, du rock psychédélique, des musiques d’avant-garde pour engendrer un son métisse, épicé, étrange.

NAHUAL

Folk atmosphérique et experimental. Un rite d'initiation, un exorcisme. Une musique bohémienne et accidentée, une galerie de portraits musicaux scénarisés comme une suite onirique. Des chansons à texte e français, en espagnol et en anglais, guidés par la convergence sonore de l'improvisation.


ULTRA SPLEEN. Folklore ré-imaginé et improvisation

Christophe Rieger : Saxophone
Hector Javier Ayala : Guitare Électrique

L’intensité de la musique du duo Rieger-Ayala est comparable à la singularité de leur rencontre : privilégier la lenteur à la vitesse de la vie contemporaine, la sobriété et la simplicité à la culture de l’abondance. Leur musique fait écho aux paradis artificiels : l'engouffrement de la lucidité et la promesse de rester bloqué dans l’infini. La musique est ici abordée comme dans un lointain souvenir, ou comme dans un rêve embrumé. Elle se joue à l'instinct et sur l'instant, comme une hypnose musicale, gorgée de sobriétés mélodiques qui découlent de la mélancolie. Et quand le temps se ralentit, dans la cage de la plénitude, la justesse de la tristesse se déploie, avec joie..
« Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu’importe ? Au fond de l’inconnu pour trouver du nouveau ! » Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal.